top of page

Tarte aux pommes Streusel

50 minutes

5 ingrédients

Aurélie

Sans titre (2).png

France

Sans%20titre-2_edited.jpg

Ingrédients :

  • 4-5 pommes ou de la compote
    de pommes avec morceaux

  • 1 pâte brisée

  • Sucre

  • Farine

  • Beurre ramolli

Préparation : 

1. Etalez la pâte brisée dans un moule à tarte beurré ou avec un papier sulfurisé et préchauffez le four à 180°. 

2. Si vous souhaitez faire vous-même votre compote. Faites cuire vos pommes épluchées et coupées en morceaux avec un peu          d’eau à feu moyen en remuant régulièrement. Quand les morceaux de pommes sont mous : c'est bon! Si la compote n'est pas      assez sucrée, ajoutez une cuillère à soupe de sucre. 

3. Versez la compote sur la pâte à tarte, étalez-la avec le dos d’une cuillère.  

4. Pour faire le Streusel (une sorte de pâte à crumble), mélangez 5 cuillères à soupe de farine, 4 cuillères à soupe de sucre et         environ 75 g de beurre mou coupé en morceaux. Malaxez jusqu'à l’obtention d‘une pâte bien sableuse, un peu sèche et qui       s'effrite facilement, avec laquelle vous pouvez former des petites boules. Si cette pâte est trop collante, rajoutez de la farine, si     elle vraiment trop sèche, rajoutez un peu de beurre. 

5. Formez plusieurs petits tas grossiers avec la pâte et placez-les sur la compote.

6. Enfournez pendant 30/35 minutes. Laissez un peu refroidir avant de servir. 

Sans titre (37).jpg

Ma grand-mère, Emilie,

née en Lorraine, avait l’habitude de nous faire régulièrement un Streusel aux pommes de son invention, croisement entre la tarte aux pommes et le Streusel. C’était une femme d’une gentillesse extrême et sa maison était pour moi la maison du bonheur. Elle a déménagé en Provence assez jeune, après avoir épousé mon grand-père issu du Gers, mais elle a été très marquée par sa région d’origine.

A l’époque, les lorrains ont été français, puis allemand, puis de nouveau français. Ils parlaient le Platt, le patois lorrain, plus proche de l’allemand que du français et avaient des coutumes assez germaniques telles que la Saint-Nicolas.

Mon arrière-grand-mère ne parlait pas français. De ce fait, ma mère a refusé d’apprendre l’allemand, mais m’a incité à le faire. Résultat : je travaille depuis 2006 au Centre Franco-Allemand de Provence et ma sœur a épousé un Allemand. 

bottom of page